3 Décembre 2018
Après une traversée mouvementée depuis le Saloum (grosse houle, fort vent de travers) pendant 3 jours, le mouillage de Sal Rei à Boa Vista ne nous parait pas si rouleur (même si le vent et la houle sont encore de la partie) et nous retrouvons par hasard le bateau copain Tadalu des Canaries. L'accostage en annexe sur la belle plage de sable blanc est sportif mais vaut le coup: beach club pour les filles, kite surf pour Henri et une tortue pour nous accueillir en prime.!
Une journée en pick-up de location nous permet de voir le petit bout de désert et l'épave de Santa Maria (échoué depuis 1968) au prix d'une conduite aventureuse dans les dunes!
Sinon, Boa Vista, l'île la plus à l'est de l'archipel, nous parait morne et peu représentative du Cap Vert. Comme nous n'avons pas le droit d'y rester plus longtemps (l'ile n'est pas un point d'entrée dans le pays), nous filons vers Sal où nous pourrons enfin tamponner les passeports.
Après une demi journée de navigation, le mouillage au port de La Palmeyra nous paraît bien rempli (pleine saison avant les transats) et organisé (taxi boat pour le débarquement, le linge, les poubelles). C'est là qu'arrivera une nuit la maman d'Henri pour le départ vers Sao Nicolau. Nous aurons eu le temps de nous baigner dans la saline et surtout de fêter dignement les 7 ans de Louise au beach club de Santa Maria (la seule station balnéaire de l'île)
Paddle avec Papa
Vendeuses d'Espargos, Sal
7 ans avec Iris et Mathieu (nos bateau-stoppeurs) à Santa Maria, Sal